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MaKoTo no burogu — Journal de bord…

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MaKoTo › Réflexions

Juste une mise au point

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mardi, 17 septembre 2013

Et si on supprimait l'impôt sur le revenu …?

Et qu'on augmentait la TVA ?

En ce moment j'entends beaucoup (trop) parler de l'impôt, et surtout de sa potentielle augmentation… Comme si on découvrait ça avec stupeur, là d'un coup, en recevant l'avis d'imposition.
J'ose espérer que les Français s'en étaient bien entendu, rendu compte au moment de la déclaration…
Décidément toujours en retard sur l'actualité, à moins que ça ne soit encore un coup médiatique organisé par les journaleux.
Bref, puisqu'on en parle, je vous laisse avec un morceau choisis de ce film :

N'ayez-pas peur, vous pouvez le regarder jusqu'au bout, et même depuis le début !

Nous avons travaillé pour la mécanisation, pour décharger l'être humain du travail pénible, et maintenant on se plaint qu'il n'y ait plus assez de place de travail.
Et personne ne dit, « mais nom d'une pipe, c'est justement pour ça que nous avons trimé dur pendant 100 ans, pour ne plus travailler autant ! »
Aucun partis politique ne le dit… et cela me met en rage !

mercredi, 4 septembre 2013

Le siècle de l'abondance ?

  • Quel est le point commun entre la colle Cléopâtre, la pâte à tartiner Pastador, les licences libres et l'association Mo5.com ?

Rien ? Vraiment ? Et pourtant…

À force de se documenter, de se cultiver l'esprit sur un tas de sujets, on finit par faire quelques recoupement entre tous les petits mondes et on se rend compte que tout est lié, que des sujets qui n'ont en apparence rien à voir, partagent en fait beaucoup.

L'exemple qui va suivre sera simple, on ne va pas ici s'aventurer dans de grand discours comme on pourrait en avoir avec des sujets tel que le revenu de base, l'élection par tirage au sort, la monnaie libre, les décroissants, etc.

Attention cependant, les moins de trente-ans risquent d'êtres un peu paumés à la lecture de ces lignes ^^;

cleopatre2.png

  • Depuis l'an dernier, est réapparue sur les rayons des magasins, cette fameuse colle en petit pot qu'on utilisait étant gamin.

Celle, comme le dit la mention sur l'emballage : « qui sent bon ».
Le fabricant cherche donc, à travers une recette qui a eu du succès en son temps, à surfer la vague de mode rétro-trentenaires, ceux-là même qui « prennent le pouvoir », du moins en tant que cible publicitaire privilégiée (y'a qu'à voir les pub pour les bagnoles, façon robot transformable, et ce bien avant l'édition du premier film live Transformer).
En faisant appel à leurs bons souvenir d'enfants, l'industriel pense qu'il va vendre avec le même succès d'antan son produit, à des clients qui pourront alors transmettre leur intérêt pour le pot de colle entêtant à leurs propres enfants.

Conclusion, le produit est redevenu disponible, mais durant combien de temps le restera t-il ?


  • La pâte à tartiner chocolatée Pastador, très connue des trentenaires, est un produit de la société Côte d'Or (maintenant sous-marque de Kraft Foods) qui un beau jour a tout simplement disparue des rayons, au grand dam de ses adorateurs…

pastador.png On peut supposer qu'elle s'est faite détrônée par l'apparition du Nutella, chose que je ne comprend toujours pas, tant cette pâte là est nulle en comparaison de cette première.
À l'époque, pas d'internet, donc on prend sa plus belle plume et on écrit au service consommateur de Côte d'Or pour faire l'éloge du produit, exprimer son désarrois face à sa disparition et savoir où s'en procurer si jamais elle était encore produite. Et quelques semaines plus tard, de recevoir un colis remplis d'échantillons divers de la marque et une réponse négative désolée, la pâte à tartinée c'est terminé !
Longtemps des rumeurs ont courues qu'on en trouvait en Belgique, mais dés qu'un truc disparait, on en trouve en Belgique, c'est bien connu depuis le temps non…?
Bref, le Pastador, jamais réédité, souvent imitée, jamais égalé, sa recette secrète s'en retrouve perdue à jamais pour le consommateur.

Conclusion, le produit est indisponible, et même si tu pleures, le môsieur ne t'en donnera pas ! C'est un sadique !


  • La licence libre maintenant :

Si la recette du Pastador avait été libre, ou genre élevée dans le domaine public, un autre industriel prêt à prendre des risques, ou encore de petits producteurs locaux qui croient en ce produit, (qui en fait seraient nationaux grâce à la VPC internet) pourraient le fabriquer et le vendre, ce que ne veut plus prendre la peine de faire Côte d'Or sous prétexte sans doute de non rentabilité où à coup de « nous savons ce que nos clients désirent, l'offre c'est nous, la demande, on s'en fou ».
Même chose pour les pots de colle, concept sympathique qui pourtant peut disparaitre à nouveau, sous les caprices d'un directeur des ventes où d'une fusion/acquisition de la société.

Conclusion, avec la liberté tout est possible.


  • Ces produits, comme les jeux vidéos, sont devenu des produits culturels, qui vont disparaitre si on ne les sauvegarde pas…

Pour certains, denrée périssable issue d'un savoir faire, ça semble déjà peine perdue, car il y a derrière cela une volonté réelle d'organiser la rareté.
Cette même rareté organisée par les producteurs de disques, tant par le nombre de supports disponibles que par des dispositifs de gestion de droits DRM.
Dans le monde matériel, la rareté peut donc être volontairement artificielle.
mo5.png Je ne pense pas que les jeux vidéos aient eu à subir un tel effet, mais par contre il subissent maintenant les effets du temps et du désintéret de la part même des éditeurs qui perdent ou jettent le code source des jeux, n'y voyant là que vieilleries obsolètes.
Les gens aussi jettent leurs anciens jeux (truc incompréhensible pour moi, qui les ait toujours considérés comme un loisir spécial).
De ce constat, une association comme Mo5.com s'est donnée pour mission, la sauvegarde de l'intégralité du patrimoine vidéo-ludique, avant qu'il ne disparaisse et soit rendu inaccessible par les spéculateurs qui surfent eux aussi la vague rétro et font monter les prix, au travers de ventes aux enchères ou par le biais des trafiquants qu'on retrouve dans des vides greniers.
Ainsi, même si certains éditeurs prennent conscience de la manne qu'ils ont entre leurs mains et décident de la rendre accessible sur les machines d'aujourd'hui (ordiphone et tablette), le jeu sur les machines d'époque sera encore possible lorsque le but ultime de l'assoc sera atteint : Le musée permanent du jeux vidéo !

  • Conclusion, le produit est/sera disponible, faudra juste être patient dans les files, en témoignent le succès de l'Exposition Game Story qui a eu lieu au Grand Palais, qui ne désemplissait pas.

Vous l'aurez compris, pour moi ce qui connecte ces produits, c'est leurs non-disponibilités, organisée ou délaissée.
Disponibilité qui serait pourtant possible grâce aux licences libres et dans un futur très proche, une disponibilité intelligente, à la demande, grâce à l'impression 3D.
Fini le gâchis et terminé la pénurie, la biosphère s'en portera d'autant mieux !


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vendredi, 2 novembre 2012

Société sexiste -2-

On en causait il y a quelques mois…
Voici une belle illustration de ma conclusion d'alors… Y'a d'l'espoir ^^

Dommage qu'encore une fois ce soit à l'école de devoir rattraper les lacunes parentales.

dimanche, 15 avril 2012

Société sexiste

Depuis bien longtemps en France, les écoles sont mixtes, c'est un fait…
Les deux sexes partent donc sur les mêmes bases d'éducation, et pourtant les chemins vont se séparer.
Ce clivage hommes/femmes, je l'ai vécu et je le vis au quotidien :

- École maternelle les jouets sont mélangés, on joue avec tout le monde à ce qu'on veut.
- École élémentaire et primaire je jouais avec les filles à l'élastique, la corde à sauter, tout ça ^^, pendant que les autres gars jouaient au… foot, évidemment.
Dans le même temps il m'arrivait de jouer à la poupée avec mes cousines, et pas juste pour mater barbie à poil…
- Au collège j'étais déjà geek ST Seiya et jeux vidéo SEGA/Nintendo, ce qui n'empêchait pas la mixité dans les relations de rester bonne.
- Au lycée… catastrophe :

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