Suite des expérimentations précédentes :
- On a eu de la casse !!
Il s'agit de la languette qui s'est brisée lors d'un choc.
Tout le reste va bien et fonctionne encore. À vrai dire je m'attendais à ce que ce type de pièce casse tôt ou tard…
Sauf que par un manque de recul, je n'avais pas prévu de pouvoir remplacer facilement cet élément. Je l'évoquais alors dans le billet N°2.
C'est maintenant chose faite, voici en effet la nouvelle version du boîtier imprimé 3D.
- La partie concernée fait désormais partie du boîtier au complet, plus besoin de la coller.
- J'ai donc ajouté un trou de vis supplémentaire afin de pouvoir remplacer la partie de la languette qui pourrait à nouveau casser.
- J'ai pensé aussi que cette languette pourrait être imprimée à partir de filament flexible type TPU ou autre NinjaFlex, ce qui la rendrait alors indestructible. Mais pour le moment je ne dispose pas de ce type de plastique.
Le couvercle de la batterie dispose aussi d'une languette, et on pourrait vouloir aussi l'imprimer en flexible, mais je pense que c'est une mauvaise idée, car on veut vraiment protéger la batterie des chocs. Ainsi il vaut mieux mettre toutes les chances du côté de la rigidité pour cela.
À suivre…?
Je mène actuellement quelques essais pour rendre les Lumiplots télécommandables… Si c'est fiable les fonctionnalités lumineuses seraient décuplées sans limites. Ou pas.