まこと の ブログ

MaKoTo no burogu — Journal de bord…

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Mot-clé - Bricolage

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dimanche, 5 mars 2023

Un manche de couteau, en bois d'arbre.

Suite de l'expérimentation précédente :

J'ai fini par me décider à usiner trois autres manches pour les couteaux restants. Ils sont un peu plus long cette fois que le manche en plastique d'origine, je trouvais qu'esthétiquement ce serait plus équilibré ainsi.

Cependant j'ai voulu procéder différemment, malheureusement je n'ai pas de photo du processus… En fait pour aller plus vite, l'idée était de ne pas découper un manche en deux parties, mais cette fois d'un seul bloc, pour s'affranchir d'une étape de collage.
L'insertion de la soie se serait faite dans le manche après percement de son emplacement avec un forêt de 1.5 mm.
Sauf que j'ai pas anticipé alors que c'était évident, ça n'a pas marché. En effet, il fallait donc percer une entaille, j'ai pensé en faisant plusieurs trous qu'il suffirait de relier, mais impossible de percer le troisième trou nécessaire car le forêt étant trop souple, il retombait aussitôt dans le trou d'à côté… Bon c'est pas clair comme ça sans images à montrer, mais je pense que comprennent celleux qui ont déjà été confronté au problème.

  • Sans outils adéquat donc pour percer l'entaille, j'ai dû me résoudre à trancher le bois, mais pas sur toute sa longueur, juste un coin afin de pratiquer l'entaille pour la soie, et de refermer avec un chute collée.

Petit contre-temps qui fait malgré tout l'affaire, esthétiquement ça passe…

  • On voit assez bien cette combine de rattrapage sur ces deux clichés :


  • Concernant la finition, j'ai a nouveau utilisé de l'huile de lin, mais cette fois diluée avec de l'essence de térébenthine, afin à priori d'améliorer la pénétration de l'huile dans les fibres.


J'ai ainsi posé trois couches avec une journée de séchage entre.
Plus que deux manches à coller donc.

mardi, 22 novembre 2022

Un manche de couteau, en… bois.

J'ai hérité de petits couteaux de cuisine que j'aime bien. Lame fine et large, idéale pour des coupes précises.
Seulement voilà, ils ont presque 30 ans, et ont déjà été réparés car leurs manches se sont cassés…
La réparation de fortune à base de clous et de colle néoprène a montré ses limites, et les lames sont devenue si branlantes qu'elle se dérobent dés qu'on appuie avec.

À force d'avoir vu quelques tutubeurs bricoler des manches de couteaux, d'avoir trouvé ça aussi divertissant que simple à faire, j'ai décidé de tenter la chose.

Préparation :

  • Après sélection d'une chute de bois qui s'avère être du pin (il était si dur que je n'y ai pas cru au départ),


  • découpe à la scie sauteuse, et sablage à la ponceuse à bande retournée de deux morceaux à peu prés identiques.


  • Ensuite il a fallu opérer une défonce sur une des pièces afin de pouvoir y loger la soie de la lame.



Assemblage :

  • Le collage des deux parties se fait à la colle vinylique, pressé dans l’étau jusqu'au lendemain.



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lundi, 1 août 2022

jubeat -11- [Fin]

Suite de l'ouvrage précédent :

Nous y voilà enfin ! Ouf… J'ai pas mal procrastiné la retouche photo de la galerie qui va suivre, pour autant que je puisse améliorer le rendu, mon appareil n'est pourtant pas si mal, mais visiblement je ne sais pas bien m'en servir. Photographe, un métier…


Finalisation du meuble :

Avant cela je vous reparle du meuble qui accueille la borne, réalisé dans le billet N°6.
Il était suffisamment stable pour un meuble d'usage général, mais pour soutenir un jeu vidéo qui reçoit de nombreuses pichenettes à la seconde, ce n'était clairement pas suffisant, aussi j'avais entrepris d'utiliser une des étagères dudit meuble pour caler la structure et l'empêcher de brimbaler, avec succès, en attendant de trouver un système plus élégant.

  • J'ai eu beau me torturer l'esprit, je n'ai pas su trouver de solution différente de ce que j'avais entrepris sur la CandyCab à l'époque, à savoir une porte encastrée et ajustée, qui se ferme par frottement.

Et j'ai eu le coup de chance agréable de constater que le restant de contreplaqué de récup, que j'avais pourtant rescemment entamé, était pile poil à la bonne mesure en hauteur !!!
Restait donc à couper la largeur et pouf, voilà :)

  • Pour la fixation j'ai utilisé des charnières spéciales pour le verre, moyennant une petite défonce au ciseau à bois, et j'ai cette fois été plus malin que sur la CandyCab, en ne plaçant pas la charnière tout contre le montant du meuble. Ce qui permet de déporter l'axe de rotation, et donc d'ouvrir la porte sans gêne mécanique, là où sur la CandyCab, j'avais dû arrondir le montant de mes portes sinon il était impossible de les ouvrir…


  • Pour la fermeture, je reste fidèle aux aimants de meuble, c'est vraiment pratique c'est machins :)


  • 60 cm de profondeur, ce n'est pas banal pour un placard !


Mais j'en profite largement, sous le chiffon blanc c'est le TV Game SoundVoltex qui est rangé.

La galerie :

  • Malgré une lumière défavorable et un studio photo qui n'en est pas un, j'ai essayé de faire honneur au travail fournit, sous tous les angles qui m'ont inspirés…




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dimanche, 17 juillet 2022

jubeat -10-

Suite de l'ouvrage précédent :

Donc la borne est remontée, et côté fonctionnalités on va d'abord améliorer le rendu de la plaque du monnayeur.


Monnayeur :

La plaque imprimée 3D c'était pour tester hein… Car ce n'est ni esthétique ni suffisamment rigide.
On va conserver le boîtier mais refaire la façade, ici avec une plaquette transparente de 4 mm d'épaisseur.

  • J'ai donc dessiné un gabarit de découpe et perçage, puis usiné la plaque sur la perceuse à colonne et à la scie sauteuse, avant de terminer le travail à la lime, y compris pour biseauter les bords à 45°.


Ensuite, pour obtenir le rendu brillant, les bords ont été poncés de manière dégressive (du papier 500 - 800 - 1000 - 1500 à l'eau). Puis polis à la pâte Tamiya (Coarse - fine - finish).

  • Résultat avant (gauche) et après (droite) polissage :



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